Cercle InterL

Réussir au féminin… c’est pour aujourd’hui ou pour demain?

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 Une ambition, des missions 

Le Cercle InterL est engagé depuis plus de 20 ans en faveur de la mixité et de l’égalité professionnelle dans les secteurs scientifiques et technologiques, avec l’ambition de créer les conditions favorables à l’équilibre des genres et à la performance.
Il regroupe les réseaux de 15 entreprises :   CEA, Dassault Systèmes, EDF, Engie, GE, IBM, Lenovo,  Orange, Orano, Qualcomm, Renault Group,  SAP, SLB, SNCF et Thales.

Tous les membres, au sein de leur propre réseau, partagent des objectifs communs :

  • Accroitre la mixité et favoriser l’accès des femmes à des postes de responsabilité, le développement de leur carrière et l’équilibre de leur vie professionnelle et personnelle
  • Encourager les talents féminins au sein des filières scientifiques et techniques
  • Etre le porte-parole des femmes issues des entreprises membres auprès des pouvoirs publics, des instances décisionnelles et des organisations européennes ou internationales, dans le domaine de la mixité, du numérique, de l’égalité professionnelle et des droits des femmes dans l’économie.
  • Partager les bonnes pratiques, promouvoir les passerelles et les échanges avec d’autres réseaux et associations
  • Animer des groupes de réflexion dans le cadre des groupes de travail thématiques dont  le contenu  est restitué lors du colloque annuel.

 Un réseau, des pionnières

Le Cercle InterL naît en 2001 sous l’impulsion de quelques femmes dirigeantes de France Télécom, IBM France, Schlumberger et GE Healthcare, conscientes de rencontrer des problématiques communes au sein de leurs entreprises scientifiques et technologiques.

Précurseur, le réseau s’est construit et renouvelé au fil des ans avec la volonté de soutenir la carrière de celles qui se heurtent au « plafond de verre » dans un secteur confronté à une faible proportion de femmes. Aujourd’hui, plus de 10 000 personnes sont actives dans les réseaux des entreprises partenaires où le taux de féminisation s’élève en moyenne à 30%.

 Une réflexion, des avancées concrètes 

Le colloque du Cercle InterL réunit chaque année, avec un succès grandissant, quelque 600 personnes à l’occasion de la Journée Internationale des Droits des Femmes. Pour la première fois en 2020 le colloque a été 100% digital ce qui permis d’élargir sa   retransmission non seulement en région mais également à l’international. Ceci a permis de tripler le nombre de membres des réseaux des entreprises partenaires ayant vécu l’évènement en direct. Le colloque constitue un temps fort qui associe analyses et avancées concrètes, témoignages et expertises sur différentes thématiques qui sont le fruit des chantiers menés tout au long de l’année.

Liste exhaustive des thèmes et grand témoins par année: cliquer ici 

Quelques exemples :

• La diversité dans tous ses états : l’intelligence artificielle a-t-elle un sexe ? la mixité a-t-elle un âge ? • Elles avec Eux, ensemble vers le futur • Changeons les codes • Mon salaire, parce que je le vaux bien • Courage… fuyons notre culpabilité • Femmes et technologies : au-delà des idées reçues • Le temps des femmes • L’exercice du pouvoir • Emotion et intuition : des atouts dans le monde professionnel ? • Le leadership a-t-il un sexe ? • Réussir sans s’épuiser •

  Intervenir, nourrir et produire

Le Cercle InterL a noué des partenariats exemplaires au premier rang desquels le réseau Femmes Ingénieurs. Il s’associe à de nombreux événements directement ou au travers de ses réseaux membres : Forum Mondial de la Démocratie, Global Women Summit, Women’s Forum, Forum de la Diversité, Trophées de Femmes de l’Industrie, Forum Jeunes Femmes et Numérique, Viva Technology, Hackathon Women Innovation, Parlement du Féminin, Nuit des Relais… Membre du Cercle des Femmes Mécènes des Musées d’Orsay et de l’Orangerie, il contribue à son environnement culturel et à la promotion des femmes dans ce domaine.

Cercle de référence, il s’engage auprès de collectifs d’associations et prend part au débat public. Il a ainsi rejoint le collectif « Ensemble contre le Sexisme » et signé le 29 novembre 2017 une charte d’engagement pour lutter contre le sexisme sous toutes ses formes. De même il a participé le 27 juin 2018 au lancement de la Fondation Femmes@Numérique avec 42 entreprises dont Orange et Engie.

  

 

  Objectifs et engagements 2022-2023

Dans un contexte où les inégalités se creusent, le Cercle InterL poursuit son action afin que l’entreprise demeure un espace de liberté et de respect des droits des femmes, selon quatre engagements

  1. Accroître la mixité, favoriser l’accès des femmes à des postes de responsabilité, soutenir tant le développement de leur carrière que l’équilibre de leur vie professionnelle et personnelle.
  2. Encourager les talents féminins au sein des filières scientifiques et technologiques.
  3. Être le porte-parole des femmes issues des entreprises membres auprès des pouvoirs
    publics et des instances décisionnelles, à l’échelle européenne ou internationale, dans les domaines de la mixité, du numérique, de l’égalité professionnelle et des droits des femmes dans l’économie.
  4. Partager les bonnes pratiques, promouvoir les passerelles et stimuler les échanges
    avec d’autres groupes, réseaux et associations.
  5. Animer un espace de réflexion grâce aux groupes de travail thématiques dont le contenu est restitué lors du colloque annuel.

illustration cercle InterElles objectifs

Au sein de l’entreprise, les femmes se heurtent à un véritable « plafond de verre » qui les empêche d’accéder aux sphères dirigeantes. Plusieurs facteurs en sont à l’origine :

  • Dans des cultures organisationnelles masculines, des stéréotypes tenaces perdurent quant aux rôles, aux comportements et aux postes qui conviennent aux femmes.
  • Des processus de carrière fondés sur des schémas masculins incluent des normes d’âge et des exigences de disponibilité entraînant de longs horaires de travail, ce qui défavorise les femmes perçues comme moins disponibles et moins mobiles.
  • Les femmes ne veulent plus devoir faire un choix entre carrière et responsabilités familiales.

Si l’accès des femmes aux postes de responsabilité reste limité, cela est d’autant plus vrai dans les entreprises technologiques, traditionnellement dirigées par des ingénieurs, et ayant longtemps confié aux femmes des fonctions « généralistes » (ressources humaines, commercial ou communication) au détriment d’emplois plus valorisés, à dominante technique dédiés à des profils issus d’écoles d’ingénieurs et menant aux postes de direction dans le monde industriel.

Parce qu’il est indéniable que les femmes représentent 50% des talents, il est important que les entreprises puissent attirer, promouvoir et retenir celles-ci. Ceci est d’autant plus vrai dans le secteur technologique, où la proportion de femmes est traditionnellement moins élevée que dans d’autres secteurs économiques et en particulier dans les fonctions d’expert. La société souffre en effet d’une désaffection des jeunes filles pour les filières scientifiques. Alors que l’égalité des droits des femmes est désormais reconnue, les chiffres témoignent encore de l’écart qui demeure entre les principes et les faits.

Le Cercle offre une tribune à chacun individuellement et à chaque entreprise collectivement pour défendre des convictions en faveur d’une société mixte plus juste et les outils pour faire progresser les entreprises membres au contact de groupes novateurs et engagés.

Pour les entreprises, adhérer au Cercle InterL renforce leur image de marque et leur marque employeur.

 

  •  C’est un argument de recrutement notable:  33% des millenials estiment que les entreprises devraient s’engager pour la protection de l’environnement et pour l’amélioration de la société, (source : fr).
  • C’est un outil d’influence à travers les think tanks pilotés par le Cercle et qui permettent aux entreprises de défricher des sujets aux portes de la sphère professionnelle avant de décider de s’en emparer officiellement : l’importance des quotas à la création du Cercle, le syndrome de l’imposteur en 2011, la santé des femmes au travail en 2022.
  • C’est, pour les dirigeantes, une plateforme privilégiée pour affirmer leur engagement en faveur de la mixité et mettre en avant leur politique diversité et inclusion et leurs actions.
  • C’est l’opportunité de valoriser les collaborateurs et collaboratrices qui reçoivent une invitation au colloque annuel et peuvent élargir leur réseau professionnel ; cela peut même être un lieu de rencontre original avec les partenaires ou les clients.
  • C’est une plus grande visibilité, avec plus de 7000 abonnés sur Twitter et 2600 sur LinkedIn, issus du journalisme, du monde politique, de collectifs engagés pour la mixité, du monde étudiant fort attentif aux questions de la diversité, et d’influenceurs business, sur laquelle les entreprises membres peuvent compter pour leurs événements en faveur de la diversité.

Pour les réseaux d’entreprises, le Cercle InterL apporte un soutien et une caisse de résonance à leurs actions.

 

  • C’est assurer une influence élargie sur les pouvoirs publics que n’aurait pas un réseau isolé. Année après année, le Cercle s’est rapproché des instances de décision et de ses prescripteurs pour influer sur les textes de loi ou orienter des décisions par nos éclairages.
  • C’est le partage des bonnes pratiques grâce aux apports de chaque entreprise : les réseaux enrichissent l’expérience de la leur au service des salariés.
  • C’est pour les reseaux l’opportunité d’échanges, de co-organisation de formations, d’invitations communes à des événements, d’échange d’experts pour animer des ateliers.

 

Pour les membres des réseaux, participer aux activités du Cercle InterL est une source d’épanouissement à 360°

  • C’est faire l’expérience du bénévolat au sein d’un collectif engagé où chacun apporte une pierre à l’édifice, à sa mesure, à la hauteur de sa disponibilité.

Depuis 2014, le Cercle InterL est une association régie par la loi de 1901 dont le bureau, élu chaque année lors de l’Assemblée Générale, identifie les thèmes de réflexion au sein des commissions de travail :

Au sein du bureau élu :

  • Patricia Lecocq (Orange), Présidente
  • Florence Gury (GE), Vice-Présidente
  • Justine Mills (IBM), Secrétaire générale
  • Benoit Louvel (Orange) Secrétaire général  adjoint
  • Itala Dall’O (membre associée), Trésorière
  • Stéphanie Tamhoua (Dassault Systèmes), Trésorière adjointe

Dirigée par un Conseil d’administration qui se réunit chaque mois, l’association est composée principalement d’un à quatre membres actifs représentant chaque entreprise membre, et de quatre membres associés. Rejoindre le Cercle InterL et participer à ses activités suppose d’être membre au sein d’un des réseaux des entreprises adhérentes.

Conseil d’administration composé de : 

Entreprises
Membres
Invitées
Arancha Martin
INTEREL
/ Membres associés
/ Membres associés d’Honneur
Dominique Maire
Catherine Ladousse
Martine Vidal
Chantho Creze
Sigrid Trendel
Sylviane Bordas
Sandrine Bortone
Itala Dall’O
Niamke-Anne Kodjo Guiot
Florence Peutin
Aline Aubertin
Christine Cluzel
CEA
Anne Marie Jonquière 
Karen Amram
Carole Sourdiaucourt
Marie Geleoc
DASSAULT SYSTEMES
Virginie Odinet
David Hedan
Stephanie Tamhoua
ENGIE
Elisabeth Aubert
Elisabeth Richard
GE
Géraldine Huertas Chaminade
Florence Gury
Myriam Oberlin
IBM
Justine Mills
Sylvaine Juhan
Sheila O’Hara
Claudine Queret
LENOVO
Chloe Broguet
Marine Rabeyrin
Sandra Lautric
MARIA NOEL GUTIERREZ
ORANGE
Patricia Lecocq
Benoit Louvel
Sarah Ranson
Julia Gauch
Orano
Nathalie NEYRET
Carole MESNAGE
Emilie LACROIX
Marion Roux
SLB
Isabelle Le Nir
 Clemence Taurant
Stéphanie Montillet
Caroline Garnier
Sylvie Lechevin
Katrin Redmann
SAP
Laure Le Bars
Laure HERVE
EDF
Pierre-Olivier Chacun
Qualcomm
Gesa Kern
Oumy Diop
Ameline LE ROUZIC
Caroline Gravier
Marion Humeau
RENAULT GROUP
Beatrice Chavanel
Estelle Pery
Gabriela Ggrajewska
SNCF
Christèle  Trevin
Sophie Tayeb
Thales
Lucille COLOMER

 

Catherine Ladousse

Ex Directrice Executive de la Communication Lenovo Europe Moyen Orient Afrique  Co-fondatrice & Présidente honoraire du Cercle InterL

cladousse@gmail.com    —    @catladousse  —    https://www.linkedin.com/in/catherineladousse/

Directrice de communication dans des grands groupes internationaux (American Express, IBM, Lenovo) et spécialiste des questions de RSE et d’égalité professionnelle  dans les entreprises technologiques, Catherine Ladousse a débuté sa carrière en Afrique comme professeur de philosophie à l’université et a ensuite travaillé au Caire et au Mexique avant de s’installer à Paris pour mener une carrière internationale dans la communication.

 

Très engagée depuis de longues années pour défendre l’égalité entre les femmes et les hommes et la promotion des femmes dans la tech, elle a participé à la création du premier réseau de femmes chez IBM France en 1999 et fondé à son arrivée chez Lenovo en 2007 l’initiative « Women in Lenovo Leadership » destinée à recruter et à retenir les talents féminins. Elle a accompagné l’entreprise dans sa politique de diversité et d’inclusion en tant que membre du comité mondial « Diversity & Inclusion » et directrice de la Fondation Lenovo.

 

Elle a co-fondé en 2001 le Cercle InterL  http://interelles:com avec un petit groupe de femmes cadres dirigeantes : Elisabeth Kimmerlin (IBM), Marie Claude Peyrache (France Telecom), Pascale Witz (GE Healthcare) et Annika Joelson (Schlumberger) accompagnées par quelques pionnières dont Christine Cluzel ( IBM), Laurence Dejouanny (France Telecom), Itala Dallo ( GE) , Ariane Labadens (Schlumberger)  Martine Vidal (IBM) .

 

Au fil des années, le Cercle a rassemblé de nouvelles entreprises toujours dans le secteur scientifique et technologique partageant leurs bonnes pratiques en matière d’égalité professionnelle et de promotion des carrières des femmes et devenant une plateforme reconnue d’échanges et de collaboration sur la mixité au service des entreprises. Pendant plus de 12 ans, le Cercle a organisé chaque année sous la houlette d’une entreprise membre un colloque rassemblant l’ensemble de ses réseaux pour livrer le résultat de ses travaux de l’année. De nombreux sujets ont été traités avec l’objectif d’apporter des réponses concrètes et de mettre des outils à la disposition de nos entreprises afin de leur permettre d’être plus performantes dans ces domaines : le management de la diversité, l’équilibre vie privée vie professionnelle, le développement personnel, la place des hommes, la négociation salariale, les carrières scientifiques, le coaching, le mentoring..

 

Ces colloques ont rencontré un succès grandissant rassemblant plus de 500 personnes des différents réseaux d’entreprises à la Cité universitaire de Paris. La marque de fabrique du Cercle a été dès sa création le partage des bonnes pratiques et le travail collectif inter-entreprise mettant l’intelligence collective au service de nos entreprises. Participer au Cercle interL a permis à des centaines de femmes – et d’hommes – de réfléchir ensemble dans des groupes de travail inter-entreprises aux solutions à mettre en œuvre pour renforcer la mixité des équipes et créer une culture d’entreprise égalitaire et inclusive.  D’où la production collective d’outils comme le « kit réseau » ;les programmes de mentoring ou le guide de la parentalité.

 

En 2012, c’était Lenovo qui avait pris la responsabilité du colloque annuel et vu l’importance accrue des actions du Cercle et son rayonnement au-delà des entreprises, il a été décidé l’année suivante de créer une association au sein de ce collectif de réseaux afin de se doter d’une structure juridique et d’une gouvernance plus claire.

 

Catherine Ladousse a participé avec l’aide des membres du Cercle dont Aline Aubertin à la création de l’association du Cercle interL et a été élue à la Présidence. Cette nouvelle étape a permis aussi au Cercle InterL de monter en puissance en tant que « think tank » et de jouer un rôle majeur d’influence dans le débat public autour des questions de mixité et d’égalité FH dans le secteur technologique et scientifique. Tout en restant dédiés aux priorités des entreprises membres, les travaux du Cercle ont dépassé  les questions strictement d’égalité professionnelle au sein de l’entreprise pour aborder les questions plus large des droits des femmes comme la lutte contre sexisme ou l’éducation encore trop genrée empêchant les filles de s’orienter vers les métiers d’ingénieurs et les filières scientifiques et technologiques encore largement dominées par les hommes.

 

C’est à ce moment là que le Cercle a commencé à nouer des partenariats avec d’autres associations ou organisations et à collaborer étroitement avec les pouvoirs publics à travers différents projets et initiatives comme la campagne « sexisme par notre genre », le projet Industri’elles du ministère de l’industrie ou l’initiative https://femmes-numerique.fr/. Grâce aux partenariats des entreprises, le Cercle a renforcé sa présence et sa visibilité dans des évènements et conférences comme le Women’s forum, Viva tech ou Elle active et s’est engagé à travers des prises de parole et des tribunes pour alerter sur l’urgence de la féminisation de la tech dès 2016

https://www.lesechos.fr/2016/06/il-est-urgent-de-renforcer-la-presence-des-femmes-dans-la-tech-211367; en 2020

https://www.challenges.fr/femmes/mixite-le-progres-technologique-ne-pourra-se-faire-sans-les-femmes_701476  ou tout récemment  sur la parité économique

https://www.lejdd.fr/Economie/tribune-la-relance-doit-etre-paritaire-par-120-responsables-de-reseaux-feminins-et-entrepreneurs-4021919.

 

Catherine Ladousse s’est beaucoup investie toutes ces années pour faire du Cercle interL un lieu d’échanges et de réflexion ouvert, bienveillant et solidaire pour toutes les femmes et les hommes engagés pour l’égalité. Son engagement et son ambition ont toujours été de faire du Cercle InterL un réseau de référence incontournable sur les questions de mixité et un outil indispensable au service de la stratégie des entreprises.

 

Elle a cédé en octobre 2020 la Présidence à Patricia Lecocq et a été nommée par le conseil d’administration Membre d’honneur et Présidente honoraire. Elle continue à soutenir les actions du Cercle et a participé à son rayonnement notamment vis-à-vis des pouvoirs publics ou au sein des collectifs auxquels adhère le Cercle.

Elle s’engage régulièrement pour promouvoir la place des femmes dans l’économie et lutter contre les inégalités dans les entreprises mais aussi plus largement dans la société.

Elle co-préside depuis 2017 le collectif Ensemble contre le Sexisme (https://www.facebook.com/EnsembleContreLeSexisme/ regroupant 40 associations engagées pour lutter contre le sexisme sous toutes ses formes et dans tous les secteurs. Ce collectif né dans le sillage de la campagne « sexisme pas notre genre » lancée par Laurence Rossignol alors Ministre en charge des droits des femmes organise chaque année le 25 janvier La journée nationale contre le sexisme invitant expert.e .s, artistes et politiques à débattre des questions du sexisme et des solutions pour éradiquer ce fléau qui légitime toutes les inégalités et entrave la liberté des femmes.

Au titre du Cercle InterL, elle est aussi co – fondatrice et Vice-présidente du nouveau collectif 2GAP https://2gap.fr/  réunissant les réseaux publics et privés engagés pour une gouvernance partagée afin de favoriser l’accès des femmes aux postes de responsabilités.

Elle a initié au nom du Cercle InterL plusieurs partenariats dont celui avec l’Association Femmes ingénieures https://www.femmes-ingenieurs.org/ afin de développer des actions communes de sensibilisation aux études et carrières scientifiques dans les lycées et collèges. Et aussi le partenariat avec le Cercle des femmes mécènes du Musée d’Orsay https://www.musee-orsay.fr/fr/info/mecenat/cercle-des-femmes-mecenes.html destiné à renforcer la visibilité des femmes créatrices.

Elle est aussi membre du réseau European Network for Women in Leadership (WIL)  http://www.wileurope.org/index.aspx  regroupant des cadres dirigeantes notamment dans le secteur technologique et anime des sessions de formation dans le cadre du programme de tutorat de jeunes talents.

Elle intervient régulièrement dans des conférences françaises ou internationales pour promouvoir la place des femmes dans l’entreprise notamment dans le secteur technologique et lutter contre les inégalités. Women’s Forum, VivaTech, Global Summit, Women4tech au Mobile World Congress …

Femme de réseau, elle fait partie depuis prés de 30 ans de l’Association des directeurs de communication https://www.entreprises-medias.org/ dont elle a été administratrice pendant 12 ans. Elle soutient aussi les activités de la formation destinée à faciliter l’accés des femmes au conseil d’administration

https://executive-education.essec.edu/fr/programme/management-leadership/women-be-board-ready/  de l’ESSEC ayant fait partie des premières promotions.

 

Elle a été nommée Chevalier de la Légion d’honneur en 2017.